...non mais vraiment, on n'est pas serieux du tout là... Ça fait un mois qu'on nous dit de lire le livre et on (Matmat et AlAl) araxe de trop ! Le mot araxe (pour les non lfhiens) a une étymologie très complexe, il s'agit d'un mélange entre le français et le grec et cela veut dire "relaxer" ou pour être plus précis "boire son café frappé assis sur un transat tout en jouant au tavli à la plage". Malheureusement, à cause de nos devoirs pour le 7e Festival du Film Francophone (voir fff7.blogspot.com ), nous, Mathieu Karboulonis et Alexis Theologitis, n'avons pas eu le temps de lire Le Parfum de la dame en noir. Nous espérons que le livre se lit rapidement. C'est promis, on s'y met ce soir... :-)
13 avril 2006
01 avril 2006
Première impression
J'ai commencé la lecture du roman policier le Parfum de la dame en noir, il y a quelques jours. Sans l'avoir totalement terminé, bien qu'en étant arrivé à la moitié, plusieurs points très clairs se dégagent déjà.
Premièrement, l'oeuvre me plait! C'est un bon départ...
A noter que l'on retrouve (pour ceux qui l'ont lu) les mêmes personnages clés que dans Le Mystère de la chambre Jaune: Rouletabille et son fidèle narrateur, Sainclair, Mathilde Stangerson et Robert Darzac, Mr Stangerson, et bien sur Frederic Larsan.
G.Leroux semble reprendre le même fil: alors que la chambre jaune était "close", mais contre la volonté des personnages en quelques sortes, cete fois ci, le fort d'Hercule où sont enfermés les héros est clos du fait de Rouletabille. L'ambiance de suspens est assez pesante; jour torride, pas d'orage, le lecteur en arrive à souhaiter l'orage tout comme Sainclait et Rouletabille! L'atmosphère d'attente et de peur contagieuse d epersonnage à lecteur s'établittrès rapidement; d'autant plus cette fois ci, il ne s'agit plus de démaquer un ennemi inconnu, ayant agit pour des motifs inconnus: c'est bien pire! Il s'agit de se protéger d'un ennemi connu, craint, redouté, qi peut d'un geste crée scandale et horreur.
Du fait de l'heure tardive, je me susi arrêtée hier soir au chapitre suivant:
La soirée depuis cinq heures jusquà la minute où se prduisit l'attaque de la tour Carré(lieu où sont réfigiés Mr Darzac et Mathilde).....
je vous tiens au courant!
Premièrement, l'oeuvre me plait! C'est un bon départ...
A noter que l'on retrouve (pour ceux qui l'ont lu) les mêmes personnages clés que dans Le Mystère de la chambre Jaune: Rouletabille et son fidèle narrateur, Sainclair, Mathilde Stangerson et Robert Darzac, Mr Stangerson, et bien sur Frederic Larsan.
G.Leroux semble reprendre le même fil: alors que la chambre jaune était "close", mais contre la volonté des personnages en quelques sortes, cete fois ci, le fort d'Hercule où sont enfermés les héros est clos du fait de Rouletabille. L'ambiance de suspens est assez pesante; jour torride, pas d'orage, le lecteur en arrive à souhaiter l'orage tout comme Sainclait et Rouletabille! L'atmosphère d'attente et de peur contagieuse d epersonnage à lecteur s'établittrès rapidement; d'autant plus cette fois ci, il ne s'agit plus de démaquer un ennemi inconnu, ayant agit pour des motifs inconnus: c'est bien pire! Il s'agit de se protéger d'un ennemi connu, craint, redouté, qi peut d'un geste crée scandale et horreur.
Du fait de l'heure tardive, je me susi arrêtée hier soir au chapitre suivant:
La soirée depuis cinq heures jusquà la minute où se prduisit l'attaque de la tour Carré(lieu où sont réfigiés Mr Darzac et Mathilde).....
je vous tiens au courant!
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