Le Parfum de la Dame en Noir a paru dans les salles le 14 septembre 2005, deux années après la parution du Mystère de la Chambre Jaune. L'année 2003 est une année importante pour le cinéma international car c'est l'année où le film Lord of the Rings : The Return of the King a gagné 11 Oscars. Le film n'a pas une un grand succés commercial mais au total les critiques de Presse de cinema l'ont bien apprecié et recompensé avec des articles favorables.
Mathieu
04 juin 2006
03 juin 2006
Le roman policier et son adaptation au cinéma.
Avant d'étudier plus particulièrement le roman policier au cinéma, il faudrait essayer d'en donner une définiton, ses caractéristiques principales étant essentielles pour comprendre les atouts et dangers d'une adaptation:
I/Un genre qui séduit depuis six cent ans.
1-De nombreux auteurs depuis le XVIIe s ont défini le roman policier, insistant chacun sur l'intrigue, la logique devant être développée par le détective:
Boileau Narcejac: "Le roman policier est une enquête qui a pour but d'élucider un certain mystère [...]en apparence incompréhensible."
Steeman: "Le récit policier relève de l'algébre, de l'architecture, de la mécanique et de la logique en même temps que de l'imagination."
Maurice Leblanc:" Le roman policier est une construction en l'air. C'est un problème que l'on combine soi même, que l'on complique jusqu'à l'extrême limite et que l'on résout devant le public en lui disant sans cesse "Est ce assez étrange? Faut il que mon détective soit assez ingénieux pour démêler un tel écheveau!"
Chesterton, enfin: "Le roman policier est un roman de mystère étrange dans son apparence mais élémentaire dans sa conception."
2- De ces différentes défintions se dégage une caractéristique principal: le roman policier est bâti autour d'une intrigue, se concentre sur un schéma étrange et propre à suciter la curiosité...schéma qui pourtant n'a pas cessé d'attirer depuis plusieurs siècles!
Un crime a lieu. Il est soit conté au lecteur dans les première pages du roman, soit se déroule directement sous yeux, toujours dans l'incipit. Le détective entre en scène, mène une enquêtre plus ou moins échafaudée; suspects et victimes indirectes entrent en scène; peu à peu se dessine un mobile, argent, passion, amour, un héritage n'est jamais bien loin. Enfin, dans les dernières pages du roman,lorsque le lecteur est "mûr", lorsqu'il tourne en rond depuis plusieurs chapîtres, le détective génial expose toute l'affaire aux suspects non coupables parmi lesquels se cache bien sûr le coupable.
Ce schéma est bien sûr un stéréotype; ensuite, chaque auteur brode autour. Il en existe différents types: des auteurs "éphémères" mettant en scène dans chaque nouveau livre un protagoniste nouveau, un décor, une époque nouvelle. Et puis d'autres dont les héros ont leurs attributs, leur personnalité, qui sont pratiquemennt devenus des personnages de légende: je veux parler bien entendu d'Agatha Christie (Hercule Poirot; célèbre pour sa croyance tenace dans "les petites celleules grises", dédaignant les méthode sur le terrain. Après tout, grâce à cette croyance, il a résolu un mystère vieux de seize ans...cf Cinq petits cochons); de Conan Doyle (Sherlock Holmes, casquette, opium et pipe, sur les lieux du crime, analysant chaque trace suspecte de boue, chaque brin d'herbe légèrement couché) ou de Gaston Leroux (Rouletabille, savant mélange des deux types avec "son bon bout de la raison", à la fois raisonneur et pratique)
Enfin, un roman policier se doit d'avoir une unité d'action: il ne s'agit pas ici d'un récit à tiroirs, entremêlant plusieurs intrigues; mais bien au contraire, d'un mystère à résoudre, et toute l'oeuvre n'existe que par, pour et en ce mystère. Pour servir cette conception, l'auteur adapte une concentration de temps et de lieux parfois, ce dernier pouvant se transformer en piège pour les personnages( Dix petits Nègres , Le crime de l'orient express, A.Christie; Le mystère de la chambre jaune, Gaston Leroux; Le double assassinat dans la rue morgue E.A Poe.
3- L'écriture, du scénario comme du roman est fonction bien évidemment de ce schéma. La plupart du temps, l'auteur joue avec son texte et son lecteur. Le procédé d'écriture n'est qu'une masquarade puisque le romancier part le plus souvent d'une situation finale, et remonte peu à peu, emmêlant les fils. Il est cependant soumis à des règles strictes: assez d'indices doivent être semés pour que le lecteur en sache autant que le détective; mais de manière, toujours, à ce qu'il ne devance pas le cerveau génial et brilliant de ce dernier!
Et c'est ici que le cinéma entre en scène:
II/ L'adaptation littéraire.
1- Elle est d'abord et avant tout au service du roman. Réaliser et mettre en oeuvre une adapation cinématographique d'une oeuvre littéraire consiste à écrire un scénario à partir d'un roman. Et le roman policier appelle bien sûr du suspens, élément que le cinéma peut et doit maîtriser à la perfection.
Tout ce que les mots et expressions ont pour créer une ambiance particulière, noire et étrange, la musique, le décor l'exprime au cinéma. Un simple air récurrent, inquiétant, intrigue, donne des frissons: en ceci, le cinéma possède des avantages indéniables par rapport au roman.
D'autant plus que les principales caractéristiques du roman policier croisent celles du cinéma: l'intrigue fonctionne souvent grâce à des flash back, imposés par le besoin de retourner en arrière dans le passé de la victime//suspect(s);
(exemple: Le film le Crime de L'Orient Express présente une reconstituation du crime narrée par Poirot en voix ff; mais reconstitution saisissante grâce à des effets de luymière bleuté et froide, caque suspect prenant des allures de meurtrier.Il s'agit bien entendu d'un retour en arrière)
La concentration de temps demandée par ce genre s'adapte aussi au cinéma: il est en effet plus simple de faire vivre au spectateur une aventure/intrigue ramassée sur quelques jours que de le faire perpétuellement avancer, reculer, passer d'un mois à l'autre...
Enfin, l'écriture même du roman aide et facilite la tâche du scénariste: mis à part les descriptions de lieu dont on parlera plus loin, l'enquête s'effectue grâce à un jeu de question réponse entre détective et suspects, témoins et autres. Les répliques des dialogues sont breves, assez proches dans certains cas d'un langage idiomatique: le héros se trouve la plupart du temps mêlé à des milieu sordides; ou certains personnages s'exprimant sous le coup d'émotions, ils ont un parler plus fluide et quotidien que celui adapté dans des romans "style Balzac", pour prendre un extrême, ce qui rend l'adaptation du livre au film plus simple à réaliser.
2- Malheureusement comme toutes choses, ce qui dans certains cas s'avère un atout peut également devenir une difficulté voir un danger. La lecture permet par exemple des descriptions figées grâce à des mots, mais derrière les mots chacun voit ce qu'il veux y voir grâce à l'auteur. Des descriptions de lieux extrêmement précises sont faites avec intention dans un roman policier; ainsi, Le Parfum de la Dame en Noir présente un chapitre entier consacré à la disposition du Fort d'Hercule. Même si ces pages semblent ennuyeuses et parfois peu agréables à lire; le lecteur les lit. Alors que lors de la réalisation cinmataographique, la caméra passe une fois sur un certain détail; un passage prolongé attirerait l'attention sur un indice à mettre en valeur...mais pas trop!
De même, le spectateur se fera sa première opinion des personnages grâce à leur physique; ce premier coup d'oeil est donc capital, et un physique inadapté pour le lecteur ayant imaginé à partir du roman une telle personne et en voyant une autre peut se révéler absolument désastreux pour l'esprit du film! Il en va de même pour l'aspect psychologique du personnage, les doutes et interrogations intérieures du "confidnet" du héros: aisni, dans Le Parfum de la dame en noir, la scène du livre où Sainclair, ce confident, ne sait plus si Darzac est Larsan ou simplement Darzac est absolument captivante: les mots laissent deviner au lecteur, grâce à la nuit et aux affreux doutes rongeant l'âme de Sainclair, tout devient possible. Son point de vue interne nous est donné; dès lors qu'on passe à l'adapatation cinématographique, ce point de vue disparait. On ne comprend pas du tout comment Sainclair peut voir au clair de lune tantôt Darzac, tantôt Larsan. Le rendu de cette scène est malheureusement assez médiocre. )
Autre exemple: (ne lisez pas si vous n'avez jamais lu Le Meurtre de Roger Ackroyd, d'A.Christie) ce roman est écrit entièement, du début à la fin, du point de vue interne du médecin..qui par la même occasion, se trouve être également...le meurtrier. Et le lecteur ne l'a pprend dans les denrières pages, bien qu en'ayant pas quitté une seule sconde le héros! Comment rendre ça en film? Aucune adaptation de ce premier roman de la célèbre auteur british n'a été faite...si un jour elle existait, je serais curieuse de voir le résultat!
3-Last but not least, roman, policier ou non, et film s'opposent surtout par ce qu'ils sont dans l'absolu: du texte long; un scénario bref.
"Un roman est toujours beaucoup trop long et la difficulté majeure consiste à [le] réduire[...]pas simplement [en supprimant]des épisodes; il faut condenser."(Pierre Bost)
Que couper? Que laisser? Tout dépend de la tonalité que veut donner le réalisateur au film bien évidemment; que désire-t-il? Rester fidèle le plus possible au roman, dialogues compris, ou tout simplement garder l'intrigue policière, les héros et leur caractères, puis broder à sa façons, ré actualisant par là certain romans, pouvant en desservir d'autres?
Enfin...toutes les études qu'on peut faire sur ce sujet peuvent s'affiner, la première chose à voir, c'est si le film a plu! Un réalisateur peut avoir de bonnes initiatives! Ou détruire complètement l'esprit du film , détournant le mystère et l'humour légèrement caustique typique d'Agatha Christie par exemple en comique bouffon et vulgaire...A vous de juger!
I/Un genre qui séduit depuis six cent ans.
1-De nombreux auteurs depuis le XVIIe s ont défini le roman policier, insistant chacun sur l'intrigue, la logique devant être développée par le détective:
Boileau Narcejac: "Le roman policier est une enquête qui a pour but d'élucider un certain mystère [...]en apparence incompréhensible."
Steeman: "Le récit policier relève de l'algébre, de l'architecture, de la mécanique et de la logique en même temps que de l'imagination."
Maurice Leblanc:" Le roman policier est une construction en l'air. C'est un problème que l'on combine soi même, que l'on complique jusqu'à l'extrême limite et que l'on résout devant le public en lui disant sans cesse "Est ce assez étrange? Faut il que mon détective soit assez ingénieux pour démêler un tel écheveau!"
Chesterton, enfin: "Le roman policier est un roman de mystère étrange dans son apparence mais élémentaire dans sa conception."
2- De ces différentes défintions se dégage une caractéristique principal: le roman policier est bâti autour d'une intrigue, se concentre sur un schéma étrange et propre à suciter la curiosité...schéma qui pourtant n'a pas cessé d'attirer depuis plusieurs siècles!
Un crime a lieu. Il est soit conté au lecteur dans les première pages du roman, soit se déroule directement sous yeux, toujours dans l'incipit. Le détective entre en scène, mène une enquêtre plus ou moins échafaudée; suspects et victimes indirectes entrent en scène; peu à peu se dessine un mobile, argent, passion, amour, un héritage n'est jamais bien loin. Enfin, dans les dernières pages du roman,lorsque le lecteur est "mûr", lorsqu'il tourne en rond depuis plusieurs chapîtres, le détective génial expose toute l'affaire aux suspects non coupables parmi lesquels se cache bien sûr le coupable.
Ce schéma est bien sûr un stéréotype; ensuite, chaque auteur brode autour. Il en existe différents types: des auteurs "éphémères" mettant en scène dans chaque nouveau livre un protagoniste nouveau, un décor, une époque nouvelle. Et puis d'autres dont les héros ont leurs attributs, leur personnalité, qui sont pratiquemennt devenus des personnages de légende: je veux parler bien entendu d'Agatha Christie (Hercule Poirot; célèbre pour sa croyance tenace dans "les petites celleules grises", dédaignant les méthode sur le terrain. Après tout, grâce à cette croyance, il a résolu un mystère vieux de seize ans...cf Cinq petits cochons); de Conan Doyle (Sherlock Holmes, casquette, opium et pipe, sur les lieux du crime, analysant chaque trace suspecte de boue, chaque brin d'herbe légèrement couché) ou de Gaston Leroux (Rouletabille, savant mélange des deux types avec "son bon bout de la raison", à la fois raisonneur et pratique)
Enfin, un roman policier se doit d'avoir une unité d'action: il ne s'agit pas ici d'un récit à tiroirs, entremêlant plusieurs intrigues; mais bien au contraire, d'un mystère à résoudre, et toute l'oeuvre n'existe que par, pour et en ce mystère. Pour servir cette conception, l'auteur adapte une concentration de temps et de lieux parfois, ce dernier pouvant se transformer en piège pour les personnages( Dix petits Nègres , Le crime de l'orient express, A.Christie; Le mystère de la chambre jaune, Gaston Leroux; Le double assassinat dans la rue morgue E.A Poe.
3- L'écriture, du scénario comme du roman est fonction bien évidemment de ce schéma. La plupart du temps, l'auteur joue avec son texte et son lecteur. Le procédé d'écriture n'est qu'une masquarade puisque le romancier part le plus souvent d'une situation finale, et remonte peu à peu, emmêlant les fils. Il est cependant soumis à des règles strictes: assez d'indices doivent être semés pour que le lecteur en sache autant que le détective; mais de manière, toujours, à ce qu'il ne devance pas le cerveau génial et brilliant de ce dernier!
Et c'est ici que le cinéma entre en scène:
II/ L'adaptation littéraire.
1- Elle est d'abord et avant tout au service du roman. Réaliser et mettre en oeuvre une adapation cinématographique d'une oeuvre littéraire consiste à écrire un scénario à partir d'un roman. Et le roman policier appelle bien sûr du suspens, élément que le cinéma peut et doit maîtriser à la perfection.
Tout ce que les mots et expressions ont pour créer une ambiance particulière, noire et étrange, la musique, le décor l'exprime au cinéma. Un simple air récurrent, inquiétant, intrigue, donne des frissons: en ceci, le cinéma possède des avantages indéniables par rapport au roman.
D'autant plus que les principales caractéristiques du roman policier croisent celles du cinéma: l'intrigue fonctionne souvent grâce à des flash back, imposés par le besoin de retourner en arrière dans le passé de la victime//suspect(s);
(exemple: Le film le Crime de L'Orient Express présente une reconstituation du crime narrée par Poirot en voix ff; mais reconstitution saisissante grâce à des effets de luymière bleuté et froide, caque suspect prenant des allures de meurtrier.Il s'agit bien entendu d'un retour en arrière)
La concentration de temps demandée par ce genre s'adapte aussi au cinéma: il est en effet plus simple de faire vivre au spectateur une aventure/intrigue ramassée sur quelques jours que de le faire perpétuellement avancer, reculer, passer d'un mois à l'autre...
Enfin, l'écriture même du roman aide et facilite la tâche du scénariste: mis à part les descriptions de lieu dont on parlera plus loin, l'enquête s'effectue grâce à un jeu de question réponse entre détective et suspects, témoins et autres. Les répliques des dialogues sont breves, assez proches dans certains cas d'un langage idiomatique: le héros se trouve la plupart du temps mêlé à des milieu sordides; ou certains personnages s'exprimant sous le coup d'émotions, ils ont un parler plus fluide et quotidien que celui adapté dans des romans "style Balzac", pour prendre un extrême, ce qui rend l'adaptation du livre au film plus simple à réaliser.
2- Malheureusement comme toutes choses, ce qui dans certains cas s'avère un atout peut également devenir une difficulté voir un danger. La lecture permet par exemple des descriptions figées grâce à des mots, mais derrière les mots chacun voit ce qu'il veux y voir grâce à l'auteur. Des descriptions de lieux extrêmement précises sont faites avec intention dans un roman policier; ainsi, Le Parfum de la Dame en Noir présente un chapitre entier consacré à la disposition du Fort d'Hercule. Même si ces pages semblent ennuyeuses et parfois peu agréables à lire; le lecteur les lit. Alors que lors de la réalisation cinmataographique, la caméra passe une fois sur un certain détail; un passage prolongé attirerait l'attention sur un indice à mettre en valeur...mais pas trop!
De même, le spectateur se fera sa première opinion des personnages grâce à leur physique; ce premier coup d'oeil est donc capital, et un physique inadapté pour le lecteur ayant imaginé à partir du roman une telle personne et en voyant une autre peut se révéler absolument désastreux pour l'esprit du film! Il en va de même pour l'aspect psychologique du personnage, les doutes et interrogations intérieures du "confidnet" du héros: aisni, dans Le Parfum de la dame en noir, la scène du livre où Sainclair, ce confident, ne sait plus si Darzac est Larsan ou simplement Darzac est absolument captivante: les mots laissent deviner au lecteur, grâce à la nuit et aux affreux doutes rongeant l'âme de Sainclair, tout devient possible. Son point de vue interne nous est donné; dès lors qu'on passe à l'adapatation cinématographique, ce point de vue disparait. On ne comprend pas du tout comment Sainclair peut voir au clair de lune tantôt Darzac, tantôt Larsan. Le rendu de cette scène est malheureusement assez médiocre. )
Autre exemple: (ne lisez pas si vous n'avez jamais lu Le Meurtre de Roger Ackroyd, d'A.Christie) ce roman est écrit entièement, du début à la fin, du point de vue interne du médecin..qui par la même occasion, se trouve être également...le meurtrier. Et le lecteur ne l'a pprend dans les denrières pages, bien qu en'ayant pas quitté une seule sconde le héros! Comment rendre ça en film? Aucune adaptation de ce premier roman de la célèbre auteur british n'a été faite...si un jour elle existait, je serais curieuse de voir le résultat!
3-Last but not least, roman, policier ou non, et film s'opposent surtout par ce qu'ils sont dans l'absolu: du texte long; un scénario bref.
"Un roman est toujours beaucoup trop long et la difficulté majeure consiste à [le] réduire[...]pas simplement [en supprimant]des épisodes; il faut condenser."(Pierre Bost)
Que couper? Que laisser? Tout dépend de la tonalité que veut donner le réalisateur au film bien évidemment; que désire-t-il? Rester fidèle le plus possible au roman, dialogues compris, ou tout simplement garder l'intrigue policière, les héros et leur caractères, puis broder à sa façons, ré actualisant par là certain romans, pouvant en desservir d'autres?
Enfin...toutes les études qu'on peut faire sur ce sujet peuvent s'affiner, la première chose à voir, c'est si le film a plu! Un réalisateur peut avoir de bonnes initiatives! Ou détruire complètement l'esprit du film , détournant le mystère et l'humour légèrement caustique typique d'Agatha Christie par exemple en comique bouffon et vulgaire...A vous de juger!
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